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French Open – Orléans – 27 mars 2014

Une erreur d’arbitrage intolérable.

Bien regarder la vidéo avant le lire l’article. liens ici (http://youtu.be/naUPPTiM-9E)

La rencontre se déroule à Orléans lors des qualifications du French International à Orléans le 27 mars dernier. Elle oppose en mixte Mattijs DIERICKX/Jelske SNOECK (BEL) à Rodion KARGAEV/Ekanerina BOLOTOVA (RUS), la paire russe est repêchée de « la réserve ».

On voit sur la vidéo, le joueur russe en blanc perdre sa raquette pendant l’échange, il poursuit pourtant en frappant à main nue le volant et le renvoie à l’adversaire. Celui-ci décontenancé relance sans conviction le volant, attendant la sanction de l’arbitre. Son volant sort de la zone de jeu. L’arbitre annonce FAUTE.

Règlement BWF – Art. 13.3.5 : « Il y a faute si, en jeu, le volant touche le corps ou les vêtements d’un joueur ». (Il faut entendre par corps, n’importe quelle partie du corps).

Ni l’arbitre, ni le juge de service ne semble avoir vu : que la raquette du Russe est tombée par terre, que le Russe a poursuivi l’échange, que le Russe a frappé le volant avec sa main.

Pour situer le contexte, on se trouve dans une compétition de niveau international (International Challenge), que c’est l’occasion d’une belle promotion pour le Badminton, qu’il y a une retransmission en Live par internet, que les écoles de la région viennent voir les rencontres.

Pour moi, il y a un manquement grave du corps arbitral, mais cela arrive. Je sais que la tâche n’est pas facile. Les qualifications sont l’occasion pour de nouveaux arbitres de prendre de l’expérience, de faire un stage, d’apprendre.

Par contre, l’attitude de Rodion KARGAEV me semble sanctionnable sévèrement. Son manque de fair-play flagrant DOIT être sanctionné. Les règlements sanctionnent « la mauvaise conduite ». Elle est d’application, pour moi, ici. Il ne pouvait pas frapper le volant avec la main, admettons que c’est un reflex. Mais surtout, il DOIT annoncer sa faute à l’arbitre « distrait ». C’est le Fair-Play le plus élémentaire. Un carton « JAUNE » au minimum devrait lui être adressé.

N’hésite pas un laisser un commentaire sur le sujet.

Pour compléter l’information : Mattijs DIERICKX et Jelske SNOECK perdent la rencontre 21/17 17/21 14/21.

Adidas lance sa ligne dédiée au badminton.

Adidas a développe une gamme complète d’équipement  pour le badminton. Jusqu’à présent le groupe allemand ne mettait à disposition des badders que sa gamme de textile et de chaussures indoor, la marque aux 3 griffes a maintenant conçu une ligne d’équipement adaptée au badminton.

Adidas a fait appel à Viktor Axelsen (DEN)* pour incarne la marque dans le badminton. La société française KWCC, basée à Hong Kong, possède la licence monde d’Adidas badminton, a étudié le projet depuis près de trois ans. 

Une nouvelle gamme complète (raquettes, textiles et accessoires) qui compte 70 références déclinées en 6 catégories: raquettes, volants, accessoires (grippes, surgrippes, cordages, housses ...), bagagerie, chaussures et textile. Elle offre également 22 modèles de raquettes conçues pour ravir les juniors, les débutants mais également les confirmés.

Et si Adidas se lance dans le badminton aujourd’hui, cela ne doit rien au hasard, le nombre de licenciés à la Fédération Française de Badminton (FFBaD) étant passé de 70 000 en 2000 à 160 000 en 2012. "C’est le seul sport de raquette dont le nombre de licenciés augmente chaque année". Le badminton compterait ainsi 250 millions de licenciés à travers le monde dont la plupart en Asie.

En Belgique, sans doute devrons-nous attendre. Le lancement de la ligne Adidas badminton a été faite à Paris le 11 avril 2013 au Lagardère Paris Racing.

L’arrivée du grand équipementier sportif allemand est un signe de la place de plus en plus importante dans notre sport sur le plan mondial. Adidas ne pouvait pas laisser son principal concurrent (Li Ning) avoir la main mise sur un marché très porteur d’image en Asie.

*Viktor Axelsen, champion du monde junior en 2010 et champion d’Europe en équipe en 2012.

source : FashionMag.com

Restons vigilants.

Maintenant j’en parle !

En France actuellement se déroule le procès de Régis de Camaret, entraîneur de Tennis, accusé par Isabelle DEMONGEOT, ancienne n°2 du tennis français, d’abus sexuel (qualifié de viol) lorsqu’elle était adolescente.

Il est certain que ce type de comportement est heureusement marginal. En France, un dispositif de lutte et de prévention aurait été installé. En Belgique, une campagne d’action est actuellement diffusée par Childfocus : maintenant j’en parle.

Tous les sports, mais aussi toutes les activités avec la jeunesse, sont touchés ou susceptibles d’être touchés par ce problème (pédophilie) : mouvement de jeunesse,  académie artistique, musique, danse, théâtre, ….

L’ « initiation » à la vie, les pseudo-bizutages, les attouchements corps-à-corps, la présence de l’entraîneur dans les douches,…  ne sont pas des comportements normaux.

Une loi de l’ « omerta » ou la loi du silence est souvent de mise. Le déni est facile. Ne pas en parler de peur de ruiner ses objectifs dans son sport, ne pas être repris dans la sélection, ne pas être crédible, le regard des autres, la peur du jugement de ses propres parents, … Les dirigeants d’une manière générale n’aiment pas ce genre de problème qui entache la moralité du club, de la fédération.

Depuis plus de trente années que j’entraîne, des comportements « déviants » ou « ambigus », j’en ai entendu parler. J’ai assisté (à l’étranger notamment) à des comportements que je ne peux pas accepter. L’attention que porte un entraîneur vers sa ou son jeune athlète doit se limiter à la salle, plus loin, c’est de l’intrusion dans sa vie privée.

Parents, dirigeants, entraîneurs : restons vigilants.

p.s. cet article doit son écriture à la médiatisation de l’action de Child Focus ainsi qu’à l’actualité judiciaire française.

Info :

http://www.childfocus.be/fr/maintenant-j-en-parle/child-advice-accueil

http://leplus.nouvelobs.com/contribution/699789-proces-camaret-la-violence-sexuelle-dans-le-sport-est-plus-presente-qu-on-ne-le-croit.html

http://www.elle.fr/Societe/News/Proces-Camaret-la-tenniswoman-Isabelle-Demongeot-temoigne-2248942

A lire également (pour les entraîneurs):

http://psysport.over-blog.com/article-l-approche-psychanalytique-un-atout-pour-comprendre-l-aspect-affectif-de-la-relation-entraineur-joueur-de-tennis--41578136.html

Linguistique et sémantique

Ce qui n’a pas de nom n’existe pas.

Comment se nomme la personne qui pratique le badminton? Cette question a été posée récement sur le blog dans les commentaires. Je reçois aussi ce genre de question lorsque je rencontre d’autres sportifs dans les salles que je fréquente.

La question est intéressante car la réponse donnée par les organisations du badminton mondiales, internationales ou nationales ne sont pas pertinentes. Chaque fédération (ou ligue) a simplement traduit littéralement le terme utilisé par « the Law of badminton » qui parle de « player(s) ».

Donc on parlera de joueur. Voilà un terme bien vaste qui couvre une multitude d’activité. Il faut donc comprendre que le « Joueur : est toute personne qui joue au Badminton. C'est ce qui est défini dans la version français publiée sur le site de la Fédération Canadienne, pourtant on sait combien les Canadiens francophones sont attachés au mot. Si je dis : « je suis joueur » ; qu’est ce cela veut dire ?

J’ai recherché chez les autres fédérations comment ils appellent le sportif qui pratique le badminton :

Angleterre : Player

Danemark : Spiller

Espagne : Jugatores

France : joueur

Pays-Bas : Speler

Portugal : Jogadores

Belgique : joueur / speler

Je ne lis pas le Chinois, le Japonais, ou l’Indonésien. Peut-être ont-ils trouvé un terme plus approprié dans les textes officiels?

Textes officiels, voilà le souci parce que dans la littérature sportive, Internet ou autres, on trouve des expressions qui donnent plus vite la signification du pratiquant.

Les mots utilisés pour nommer un pratiquant du badminton sont :

Badder : en français, en anglais.

Badiste : en français (France).

Shuttler : en anglais.

Badmintoner : en néerlandais.

Mon ami Benoît Moury m’interpelle souvent sur les termes que j’emploie lors de mes entraînements, pour des coups, de la stratégie ou des tactiques. Il me dit souvent : « Trouve un  nom pour ce que tu expliques. Avec un seul mot, les « joueurs » vont tout de suite visualiser ce que tu leur dis. Ce qui n’a pas de nom, n’existe pas. »

Le badminton a un plus de 100 ans mais en 100 ans, le badminton n’a pas encore trouvé de MOT pour définir son pratiquant.

Ici, j’utilise généralement le mot BADDER.

Badiste, le suffixe –iste me semble plus approprié pour une profession : chimiste, pompiste,… Shuttler signifie navetteur. Pas top. Badmintoner – Badmintoneur ? ne me convainc pas. Comment t’appelles-tu ?

Concours de Danse élargie - Paris – 16 & 17 juin.

Dancing in Badminton – 2^e prix

Le Théâtre de la ville (Paris) dirigé par Emmanuel Demarcy-Mota créait il y à deux ans en collaboration avec Boris Charmatz directeur du centre chorégraphique national de Rennes et de Bretagne un concours ouvert à toutes les disciplines et à toutes les générations intitulé Danse élargie. Seules deux contraintes sont imposées : une durée maximum de dix minutes par numéro et trois interprètes minimum sur le plateau.

Le week-end des 16 et 17 juin était consacré à la présentation des 20 numéros sélectionnés pour la 2e édition, artistes choisis parmi 300 projets reçus provenant de 41 pays différents. (Bande-annonce à partir d’extraits de la dernière édition).

Dancing in Badminton, de WU Chien-Ying [Taiwan] obtient le second prix .

Le Théâtre de la ville dévoilait dans la soirée de dimanche les artistes primés. Le  jury composés de professionnels parmi lesquels : la cinéaste belge Chantal Akerman, la comédienne Élodie Bouchez, la danseuse étoile Marie-Agnès Gilot ou encore le chorégraphe Rachid Ouramdane. Pauline Simon remporte donc le concours Danse élargie 2012 et repart avec la coquette somme de 16500€ cumulant le premier prix du jury professionnel et celui des spectateurs. Elle présentait EXPLOIT (extrait vidéo via le site de l’artiste).

Le deuxième prix est remis à WU Chien-Ying (TPE) pour Dancing in Badminton, une performance pour quatre adolescents âgés de 12 à 15 ans, le numéro vise à faire prendre conscience aux quatre interprètes et au delà au public l’aspect dansé contenu dans ce sport. Un peu sceptique, l’un des jeune dira dans une vidéo émise au début « on ne danse pas en faisant du badminton ». Aucune chorégraphie, un match normal joué en mixte sur un terrain reconstitué, bandes et filet inclus. Aucun son si ce n’est le bruit du volant frappé par les raquettes et le piétinement des joueurs au sol. 

Ne dis plus que tu joues au Badminton, tu danses maintenant. J’aime cette façon de voir notre sport.

« Badminton is Art and Science » : Daryono BUDISANTOSO (INA)

Vinqui (VQ) – Hong Kong

Pendentifs,  bracelets, bagues, boucles d’oreilles, attaches cravate « Badminton »

La société VINQUI située à Hong Kong produit des petits bijoux de qualité pour toi, ton amoureux (se), pour récompenser ton équipe ou comme trophées pour ton tournoi. J’ai eu le plaisir d’avoir un échantillon, la qualité est excellente, tout autant que la présentation.

VINQUI a étoffé son offre d’objet « Badminton » en pendentif avec un nouveau volant, une raquette + volant, une attache cravate, un pin.

La majorité des articles tournent autour de 30€, le plus cher (avec 50 petits diamants) coûte 182€.

Les bijoux sont garantis, sans frais de livraison. Livraison dans les 15 jours.

www.vinqui.com

Idées Cadeaux

Les fêtes approchent

Pour les fêtes de fin d’année, anniversaires ou trophées, sont disponibles sur le marché quelques bijoux typiquement « Badminton ».

Les prix varient entre 172€ et 28€.

Ils sont disponibles par correspondance (compter une quinzaine de jour pour le délai de livraison, si stock disponible*) :

Chez la firme VINQUI, basée à Hong-Kong

http://www.vinqui.com/shop/badminton.html

ou dans la boutique de la Fédération Française de Badminton :

http://ffba.fanavenue.com/catalogue/Bijoux+badminton.htm

*je n'ai pas fait l'expérience de commande, ni examiner la qualité de la finition. Je donne l'information simplement.

Belgian Flashmob Solibad - Bruxelles - 5 juin 2011

Succès du Flashmob Solibad

Vidéo : http://www.youtube.com/watch?v=f_e83JOqjMM

On la sait maintenant, le Flashmod Solibad a été un succès planétaire. Partout dans le monde (60 villes, 40 pays), des joueurs de badminton se sont réunis le 5 juin 2011 pour réaliser dans des endroits publics une chorégraphie le plus souvent orchestrée par un champion national. Au Danemark, Peter Gade (n°5 mondial, ancien numéro 1)  ou encore Jan Jorgensen (n°13) ont ainsi lancé le mouvement, aussitôt rejoints par des dizaines d'autres joueurs. Même chose à Bangkok avec en « meneuse » la Française PI Hongyang, marraine de l'association, ou Koo Kien Keat, n°4 mondial de double ou encore à Londres Nathan ROBERTSON (médaillé d’argent olympique).

A Bruxelles, c’est Séverine CORVILAIN, notre numéro 1 en doubles dames et mixte qui a mené la chorégraphie devant quelques joueurs du Top belge Angela CASTILLO, Lionel et Julien WARNOTTE et quelques jeunes espoirs, Alexia RAYEMAEKERS, Alexandre LALLEMAND ou Mathias MANCINI.

L’évènement Euro-Féria qui se déroulait à cette période autour de l’Atonium a quelque peu perturbé l’organisation du Flashmob, mais aussi permis d’être vu par un large public.

Les réactions des 2 organisateurs,

Séverine CORVILAIN et Olivier DE NIEUPORT : La chorégraphie une fois lancée, c'est avec étonnement que le public s'arrête et s'interroge : qui sommes-nous ? Que défendons-nous ?

Peu du public s'invite .. il faut dire que nous n'avions finalement pas pris assez de raquettes.

Masterbad : Content du succès ?

Oui ! Presque à notre grand étonnement car nous n'attendions véritablement que peu de monde .. Notre publicité n'était sans doute pas optimale mais nous sommes limités et dans nos budgets et dans nos disponibilités pour ce genre de logistique.

S. Corvilain et O. De Nieuport : Si une prochaine édition a lieu, nous saurons à quoi faire face et comment mieux nous y prendre afin d'optimiser cet évènement.

Certes, se taper Liège-Bruxelles aller-retour pour une demi-heure de flashmob ou une distance similaire n'est pas négligeable mais même parfois des clubs proches ne sont pas motivés. Séverine et moi regrettons tout de même que beaucoup de réactions (typiquement belges ??) sont souvent du style "Mais y a beaucoup de monde à votre Flashmob ?" ou encore "Mais je ne connais personne moi à cet évènement.." : c'est là qu'on se rend compte qu'il est difficile de faire bouger ses contacts du badminton ! Enfin, il faut noter que ce ne sont que quelques cas d'excuses parmi tant d'autres qui sont, elles, acceptables majoritairement (examens) !

Retenons que ce fut pour tous une expérience agréable et une réussite selon nous !

Vidéo 2 : http://www.belbad.be/Photos/FlashmobBrussels2011Bad2.wmv

Photos (Peter Nagy) : http://www.facebook.com/media/set/?set=a.2122119850824.2127559.1180672863

Média

Interview de Damien BROOTHAERTS (Athlétisme) par Alain Gerlache (La Première)

A méditer, ce matin sur La Première (Radio) une interview intéressante de l’athlète Damien BROOTHAERT (haie) sur ses relations avec les Réseaux sociaux. Damien Broothaert qualifie ses activités sur Facebook et sur ce qui en retire.

Le Badminton se plaint en générale de sa faible visibilité dans les médias. Le monde évolue, peut-être que nous devrons réagir selon de nouveaux principes. Les réseaux sociaux semblent influencés favorablement la démocratie dans certains pays. Pourquoi ne pas faire aussi notre petite révolution pour mettre plus en avant notre sport. Chacun devenant un agent de l’action.

Badder du Top national prend en main ta communication. Ouvres-toi sur le réseau pour être en contact avec tes fans, tes amis, la presse (potentielle) et qui sait les sponsors. A toi de le faire vivre, pas pour tes activités privées (je sais tu y es déjà), mais pour y livrer ton calendrier de compétitions, le feedback de tes matches, tes entraînements, tes conseils, … Tu pourras recevoir du soutien de « ton public » pas forcément toujours proche, mais aussi peut-être des critiques qui pourront te faire avancer, bref des réactions. Ce qui importe, c’est d’exister, pour soi et pour les autres.

A écouter le Podcast Media TIC :

http://www.rtbf.be/info/emissions/article_media-tic?id=57...

International – Chine - Janvier 2011.

Ou La Yia aime le Badminton.

Ou La Yia, c'est le nom de l'Oréal en version chinoise. Déjà sponsor officiel de l’exposition universelle de Shanghai en 2010, l’équipe Nationale de Badminton de la Chine vient d’annoncer avoir conclu un accord de partenariat pour 2 années avec la grande marque de cosmétique avec les Jeux Olympiques de Londres en 2012.

La grande entreprise de cosmétique a choisi le Badminton comme vecteur de son développement en Chine. Les Chinoises dépensent actuellement 5€ par an en cosmétique, contre 115€ pour une Japonaises ou 130€ pour une Française. Soit un potentiel de progression gigantesque.

La Chine et sa domination dans le badminton ne serait finalement pas un handicap pour notre sport.

Exposition – Hofstade – jusqu’au 3 octobre 2010

Exposition : 100 ans du Badminton en Belgique

Le Sportimonium accueille l’exposition mise sur pied par Herman MOENS, aidé de La Fédération Belge de Badminton, la Vlaamse Badminton Liga, la Ligue Francophone Belge de Badminton : “100 ANS DE BADMINTON EN BELGIQUE?”

Voici plusieurs années qu’Herman MOENS, ancien multiple champions de Belgique, avait l’idée de mettre sur pied une exposition à la gloire de Badminton, encore trop méconnu en Belgique. Sportimonium, musée consacré aux sports, a mis en scène toutes les collections recuillies par Herman Moens.

 Les différentes salles permettent de découvrir :

-          L’évolution technologique du matériel : exposition de nombreuses raquettes, de la raquette en bois jusqu’aux raquettes actuelles.

-          Également l’évolution du volant.

-          Équipement : exposition des tenues de l’équipe nationale au fil des ans, T-shirts

-          Ainsi que de nombreux trophées

-          La grande salle permet de retrouver de tres nombreuses illustrations : photos, posters, etc anciens et plus récents. 100 années de souvenir. Pins et fagnions.

La soirée d’inauguration de ce jeudi 19 août 2010 a permis aux amis du badminton de se retrouver dans un moment convivial et académique. Beaucoup d’anciens champions et internationaux belges étaient présents pour féliciter l’initiative. Une très belle réussite : « Chapeau Herman ».

Sportimonium - Trianondreef  19,  1981 Hofstade –Zemst - www.sportimonium.be

Accès pour le  Sportimonium :
En voiture:

E 19 – Bruxelles-Anvers – sortie Zemst – suivre Bloso-domein Hofstade – 1er signaux tout droit (Trianondreef) et suivre env.500 m -  à gauche sonner à l’entrée de service du domaine Bloso – sonner Sportimonium – mettre voiture sur le parking à gauche – la barrière s’ouvre automatiquement – se rendre à pied vers le musée.

N 26 -  Mechelen-Leuven, sortir à hauteur de la flèche  du domaine Bloso Hofstade (Trianonlaan, puis Trianondreef) – après env.900 m à droite – sonner à l’entrée de service du domaine Bloso – sonner Sportimonium – mettre voiture sur le parking à gauche – la barrière s’ouvre automatiquement – se rendre à pied vers le musée.

Tokyo (Japan) - 29 septembre 2009

Un volant à 414 km/h

Naoki Kawamae (JPN) a établi un impressionnant record du monde en marge de l'Open du Japon à Tokyo. Equipé d'un nouveau modèle de raquette plus léger (80 grammes), le professionnel japonais a frappé un volant qui a atteint la vitesse de 414 km/h, soit 82 km/h de mieux que le précédent record (332 km/h).

Naoki KAWAMAE est un joueur de double, avec son partenaire Shoji SATO (JPN) ils sont 25^e mondiaux. Ils ne participaient pas au Japan Super Series. Cette tentative réussie de record du monde se faisait en marge de l'Open du Japon.

photo : SATO à l'avant / KAWAMAE à l'arrière.

Yonex bouscule les règles et invente le L-Shirt !

Les images du Yonex Japan Open 2009 laissent découvrir une nouvelle tendance vestimentaire pour les Badders. Certaines grandes stars mondiales jouaient dans une nouvelle tenue, que j’appelle L-Shirt à cause de sa forme par opposition au T shirt.

On s’était déjà un peu habitué au T-Shirt sans manche, tenue appréciée des Chinois et autre. Ici ce nouveau design semble être apprécié par tous, de Peter GADE (photo du haut) à Taufik HIDAYAT en passant par Chong Wei LEE (photo du bas).

Une question se pose, y a-t-il des modèles pour gauchers ?

Les chances de trouver ces vêtements en Belgique semblent minces, à moins que la demande ne puisse faire pression sur l’importateur, le catalogue textile Yonex disponible se contente de présenter des valeurs sûres, et classiques.

Les règlements sur le tenue ne peuvent qu’approuver ce genre de tenue, plus aucune restriction par rapport aux manches et à leur longueur. Cette tenue doit être spécifique au Badminton puisque personnellement, je ne l’ai encore vue dans aucun autre sport.

SOS Villages d’Enfants – Kinderdorpen

T-Shirt 4 x 100m Féminin / 4 x 400m Masculin – BEIJING 2008

Un fantastique souvenir de l’été 2008.

Soutiens l’action de Kim GEVAERT et Vincent KOMPANY.

Info  commande : www.atletix.be

Site : http://www.sos-kinderdorpen.be/fr/ambassadeurs

Qui est-ce?

Allez, c'est facile. Tu ne peux pas l'avoir oubliée, si tu connais le badminton depuis plus de 4 ans.

Toujours aussi belle? Non, plus belle!

Le BADMINTON comme préparation physique des cosmonautes.

L’Europa Cup 2008, tenue au sud de Mouscou (RUS) a vu la victoire pour la deuxième fois consécutive du club Primorye de Wladiwostok. L’Europa Cup a reçu la visite du Président du Cosmonaut’s Training Center of Gagarin,  Vasily Tcibliev. Celui-ci espère que plus tard ce tournoi se tiendra à la « Cité des Etoiles » (Zvezdny gorodok).

 «  Le badminton est l'un des plus importants composants de la préparation physique des cosmonautes. ». a-t-il déclaré.

Davy PAINDAVEINE, 30 ans, série A, papa d’un petit Alexandre, membre du Club Au Revoir et Merci, une tête bien faite dans un corps d’athlète. La saison dernière, Davy a joué les interclubs en Ligue 1 pour Mont-sur-Marchienne. Pour cette nouvelle saison, c’est chez Cardinal Mercier qu’il exercera ses talents. Mais aujourd’hui c’est pour son activité professionnelle qu’il est à l’honneur.

Davy Paindaveine empoche deux prix prestigieux: le Gottfried Noether Junior Scholar Award, de l'American Statistical Association et le prix Adolphe Wetrems, de l'Académie royale de Belgique. Cette double distinction vient récompenser un jeune chercheur à la carrière fulgurante.

En 1998, Davy Paindaveine obtient une licence en sciences mathématiques à l'Université libre de Bruxelles (Ulb), tout en remportant le prix Sterpenich qui récompense un étudiant s'étant distingué dans les trois premières années de ce programme. Ses intérêts scientifiques le portent vers l'analyse mathématique.

De 1998 à 2002, il est assistant à plein temps au département de mathématique, découvre la statistique mathématique, décroche avec les félicitations du jury un DEA et soutient, sous la direction de Marc Hallin, une thèse dans cette discipline, qui lui vaut également les félicitations du jury.

En septembre 2002, il est nommé chargé de cours à l'Ulb. Sa thèse obtient en 2003 le prix Marie-Jeanne Laurent-Duhamel, décerné tous les deux par la Société française de statistique à la meilleure thèse soutenue dans une université de langue française. Malgré son jeune âge, Davy Paindaveine est élu membre de l'International Satistical Institute. En 2005, il enlève le prix du Concours annuel de l'Académie royale de Belgique.

De son côté, l'Institut de statistique de l'Université de Paris lui confie un enseignement dans sa spécialité. En 2006, il devient co-directeur de l'European Center for Advanced Research in Economics and Statistics (ECARES) et vice-président de l'École doctorale thématique en statistique et sciences actuarielles. Enfin, il est élu au Conseil de la Société française de statistique. Quatre ans après sa thèse, sa liste de publications comporte une vingtaine de titres, dont pas moins de quatre dans les très prestigieuses Annals of Statistics.

La contribution de Davy Paindaveine se situe principalement dans le cadre des méthodes d'analyse statistique multivariées et dans celui de l'analyse des séries temporelles multivariées, qui sont utilisées quotidiennement dans l'ensemble des champs de la statistique (économétrie, finance, biostatistique, etc.). Plus concrètement, ses travaux définissent des méthodes non paramétriques qui, tout en étendant sensiblement la validité des méthodes gaussiennes traditionnelles, améliorent également leur efficacité de façon significative.

Davy Paindaveine recevra le Gotfried Noether Junior Scholar Award 2007 en août prochain à Salt Lake City, Utah, lors de la séance solennelle des Joint Statistical Meetings organisée dans le cadre du colloque annuel de l'American Statistical Association, événement qui rassemble plus de 5 000 participants et est la plus grande manifestation mondiale du genre.

En 2008, il sera invité à donner dans le cadre de ce même événement, un exposé en séance plénière sur ses derniers travaux.

Félicitations Davy, je ne comprends pas ce que tu fais mais je n’en suis pas moins épaté. A bientôt, sur un terrain, là au moins nous nous comprenons.

Jean-Michel SAIVE :

«Je n’imagine pas ma vie sans objectif!»

Extrait de LA REVUE DE LA RÉGION WALLONNE : «Il ne faut pas savoir perdre, il faut vouloir gagner!»

On ne présente plus Jean-Michel SAIVE, c’est un sportif combatif et hargneux au palmarès affolant. Volontaire et ultra professionnel, c’est aussi le frère aîné de Philippe et c’est surtout un homme simple, souriant, gentil et déterminé: «Il ne faut pas savoir perdre, il faut vouloir gagner! Garder l’envie et faire la bonne analyse pour pouvoir rebondir, c’est construire une longue carrière.»

La détermination :

Dialogue-Wallonie est allé à la rencontre, en plein entraînement, du champion de tennis de table, également classé au golf et au tennis et amoureux du sport en général. A 36 ans, installé dans le dernier quart de sa carrière, Jean-Michel SAIVE garde toujours la même intensité à l’entraînement. «Quand je m’entraîne, on ne me dérange pas, ça carbure sec! Le nombre d’heures ne compte pas, il faut être totalement impliqué dans ce qu’on fait, être pro!» «Je n’imagine pas ma vie sans objectif!». Toujours entre deux avions, partagé entre les tournois individuels, son club de La Villette ou l’équipe nationale, il aime se fixer des objectifs réguliers et rapprochés. «J’aimerais aller jusqu’aux jeux olympiques de Pékin en 2008, et après, je me vois bien faire un marathon…». Quand on parle de la famille, il précise: «A nos débuts et encore maintenant s’il le fallait, mes parents ont toujours été là pour nous soutenir, mais uniquement parce mon frère et moi, on en redemandait encore et encore et pas comme certains parents qui poussent leurs enfants à l’extrême dans un sport où eux-mêmes n’ont pas réussi à percer!».

La mentalité :

Et Jean-Michel de relater un souvenir d’il y a plus de 20 ans, avec la précision d’un horloger suisse: «J’avais 14 ans, je jouais en 2e division allemande à l’époque. Un samedi soir, j’ai joué en ligue européenne à Luxembourg-Ville avec une victoire finale par 5-2. Le lendemain, à partir de 10 heures, j’ai disputé un interclub à Dulmen en Allemagne, à 300 km de distance, où j’ai gagné tous mes matchs, et à 14 heures, j’étais inscrit à un tournoi à Eupen ou je n’ai perdu qu’en finale. J’ai voulu tout faire, par envie, par excitation personnelle, par challenge», dira-t-il avant d’ajouter: «quand je suis en vacances, je fais du sport 6 jours sur 7 avec parfois un jogging le soir, je vais même courir le 1er janvier de chaque année, j’aime m’entraîner un peu à la russe!»

Dans les années 90, les joueurs européens font alors partie du gratin mondial avec des joueurs comme Saive, Gatien, Persson, Waldner, Karlsson, Roskoff, Primorac, Kean ou Korbel. Aujourd’hui, seuls des jeunes comme Boll ou Maze parviennent à faire des résultats. Une explication pourrait avoir comme cause une certaine évolution de la société. «L’époque est aux internet, MP3, téléphonie mobile et playstation. C’est comme ça, faut vivre avec, mais quand je vois certains qui font entraînement avec le GSM sur le coin de la table de jeu, ça me rend malade!»

Les conditions d’entraînement – l’infrastructure : (pas bien différentes en badminton)

Pour pouvoir faire des résultats, il faut aussi pouvoir compter sur des infrastructures sportives de qualité, mais en Belgique, les salles de tennis de table n’ont plus évolué depuis plus de 25 ans. Alors qu’elles devraient être pourvues d’un revêtement adéquat, le «taraflex», 7 salles sur 10 en «super division belge» ont encore un sol en béton. «La culture sportive n’est pas assez développée en Wallonie », ajoute Jean-Mi. «Il y a quelques infrastructures existantes mais on attend d’abord des champions. Or sans structure convenable, pas de champion possible». A côté de la salle de La Villette Charleroi qui est la meilleure d’Europe pour s’entraîner, une salle similaire existe aussi au Sart-Tilman près de Liège et une autre verra bientôt le jour à Blegny, la salle de Jambes n’étant équipée que d’un simple parquet trop glissant.

La Wallonie :

Jean-Michel pose aussi un regard sur la Wallonie. «Nous sommes bien en Wallonie globalement par rapport à la planète, après avoir fait plus de 50 fois le tour du monde dans les tournois. Il n’y a pas de guerre, pas de catastrophe naturelle, pas de privation de liberté, une couverture sociale unique, mais les Wallons ne s’en rendent pas toujours compte».

«Je crois aussi que nous ne sommes pas assez combatifs, que nous avons toujours un petit complexe d’infériorité, on devrait plus parler de nous, être fiers de ce que nous sommes.»

Le champion donne aussi un avis intéressant, notamment sur le Plan Marshall. «Il faut faire bouger les choses et ce plan sera sans doute une bonne chose, mais de manière générale, que ce soit dans le sport, la culture, le cinéma, le domaine économique, on doit surtout mettre en valeur les choses qui fonctionnent bien, sans vouloir pour autant cacher ce qui va moins bien. Il faut aussi installer des bases à long terme, dans les structures, la formation des jeunes».

Jean-Mi demain :

Dans quelques années, Jean-Michel se verrait bien dans la peau d’un coach mais pas d’un entraîneur. «J’ai  beaucoup donné, j’aurai besoin de prendre un peu de distance, je ne pourrai plus être présent dans une salle de sport 7 jours sur 7. Par contre, accompagner une équipe quelques jours, apporter une petite touche personnelle, ou être présent dans une salle pendant que d’autres jouent, ça peut rassurer et avoir pour effet de booster les plus jeunes qui sentiront ma présence dans la tribune».

Extrait de Dialogue-Wallonie - Michaël MODOLO

HEAD se lance sur le marché du badminton

La marque Head, N°2 mondial du tennis et des sports de raquettes annonce son arrivée sur le marché du badminton. Les produits seront disponibles dans les points de vente à compter du mois de juillet 2007. Dans le même temps, la marque publie ses résultats annuels financiers. L’année 2006 a été positive pour le groupe HEAD avec une augmentation de 2,6% du chiffre d’affaires international, qui s’établit ainsi à 336,8 millions €. En France, Head a réalisé un chiffre d’affaires de 26,4 M €

« HEAD est l’une des premières marques au monde dans les sports de raquettes (N°2 mondial, N°1 en Europe et en France), et nous sommes très confiant dans notre capacité à concevoir et produire des raquettes et des accessoires de haute technicité pour la pratique du badminton. Nous possédons les technologies et les outils de production, l’expérience, la maîtrise du marketing, et un réseau de distribution mondial très important, pour créer des synergies et réussir rapidement notre entrée sur ce marché. » a déclaré Robert Marte, Directeur de la Division sports de raquettes chez Head.

Head commercialisera dès le lancement une ligne complète d’équipements destinés au badminton avec des raquettes, des volants, des cordages, des chaussures, du textile, de la bagagerie et de nombreux accessoires. Les produits s’adresseront aussi bien aux joueurs professionnels qu’aux joueurs loisirs. L’accent a été mis sur le design, l’apport de technologies novatrices et un excellent positionnement prix. Head estime le marché mondial du badminton à 200 millions de pratiquants (dont 165 millions en Chine) et 15 millions de raquettes vendues chaque année dans le monde. La France compte 500 000 pratiquants dont 115 000 licenciés. Head évalue le marché français du badminton à 400 000 raquettes par an et compte d’ici à 3 ans prendre 15% du marché français

Pour appuyer le lancement de la marque HEAD sur le marché du badminton, HEAD a déjà investi massivement. HEAD est depuis plusieurs mois le partenariat de l’Association Danoise de Badminton (DBA), en tant que fournisseur exclusif d’équipements. Avec ce partenariat, HEAD s’est déjà assuré une médiatisation mondiale sur les chaînes de télévision à l’automne dernier, en sponsorisant des compétitions aux Danemark, comme le Danish Open et le Copenhagen Masters.

Le Danish Open est le tournoi de Badminton le plus doté en Europe et il fait partie des compétitions du nouveau circuit International« Super-Series », lancé par la Fédération Internationale de Badminton en Janvier 2007.

De plus, HEAD a pris sous contrat jusqu’en 2008, 5 joueurs du Top : les Danois Mathias Boe et Carsten Mogensen, les Anglais Anthony Clark, Donna Kellogg et le Gallois Richard Vaughan. En France, Head a pris sous contrat les meilleurs joueurs hommes et femmes : Simon Maunoury, Elodie Eymard, Thomas Queré.

HEAD EN BREF : Le groupe HEAD NV est l’un des acteurs majeurs de l'industrie des articles de sports. Le groupe HEAD NV est coté aux bourses de New York et de Vienne. Les activités du groupe sont organisées en quatre divisions : Sports d’hiver, Sports de raquettes, Plongée et Licences. Les produits sont vendus sous les marques HEAD (tennis, balles de tennis, squash et sports de raquettes, matériel de badminton, ski et chaussures de skis, snowboards, fixations de snowboard et boots), PENN (balles de tennis et de sports de raquettes, TYROLIA (fixations de ski), et MARES /Dacor (matériel de plongée. De nombreux athlètes parmi les meilleurs au monde sont sous contrats et utilisent nos équipements, comme André Agassi, Gustavo Kuerten, Marat Safin, Ivan Ljubicic, Svetlana Kuznetsova, Patty Schnyder, Anastasia Myskina, Bode Miller, Didier Cuche, Johann Grugger, Marco Büchel, Ambrosi Hoffmann, Patrick Staudacher, Sarka Zahrobska, Karen Putzer et Maria Riesch.

Photo : Anthony CLARK / Donna KELLOGG (ENG)

Badminton : Ciment du couple

« Mystique » girl de X-Men : Badminton addict.

Le Badminton renforce le couple. Autant pratiquer ensemble que de laisser l’autre à la maison.

Rebecca ROMIJN, actrice dans notamment X-Men et « fille de papier glacé » a le physique pour jouer au Badminton.

Rebecca si tu le souhaites, je peux me libérer pour des cours particuliers.

 

Rebecca Romijn and Jerry O’Connell spice up their relationship by playing badminton.

The couple - who have been together since August 2004 - say they’re addicted to the racquet sport and love to play for hours.

Jerry, 32, revealed to People magazine: “I can’t believe I’m saying this publicly but we play a lot of badminton.”

‘X-Men’ star Rebecca added: “We can do it for an entire weekend. We’ll play for four hours a day straight.”

Les Filles plus fortes que les garçons !

10 volants dans la vue pour Christian ROEBUCK et Anthony CLARK contre Gail EMMS et Donna KELLOGS (ENG)

http://www.badminton.tv/content/item/one-minute-rally-challenge/

Le One Minute Rally Challenge est devenu très populaire en Grande Bretagne. Les meilleurs se sont lancé un défit. Le principe : jouer le nombre de coups maximum entre deux partenaires par delà le filet en 1 minute. Les badders doivent avoir les pieds derrière la première ligne de service.

Gail EMMS et Donna KELLOGS se sont montrés les plus talentueuses dans cet exercice.

Voilà un manière amusante d’animer une soirée club.

Le conseil du coach : rester toujours en mouvement, la raquette toujours haute, un cordage très tendu et … un peu de talent.

http://www.badmintonengland.co.uk/

http://www.welshbadminton.net/

http://www.falmouthpacket.co.uk/sport/falmouthcountysport/

Cédric ou quand on troque sa raquette pour un pinceau !

Cédric a fait ses classes de badminton dans les groupes qu’on appelait « espoir » à ce moment-là. En minime avec Vincent Hecquet, il fut vice-champion en double avec Emmanuel LORIAUX, il s’entraîne ensuite avec George NIEUWENBOOM, alors entraîneur des Seniors et des « Scolaires », puis B1, aux portes de l’équipe nationale juniors, il abandonne à 17 ans la plume pour le crayon, préférant sa planche à dessin au parquet des salles de sport.

Après des études secondaires artistiques qu’il termine à St Luc à Tournai, il s’installe à Bruxelles pour fréquenter l’E.R.G. (Ecole de Recherche Graphique), puis St Luc - Bruxelles.

Il vient de créer un site Internet avec quelques nouvelles productions : http://leced.fr.cc/ 

Créateur B.D, il met son talent à la disposition de tous pour réaliser des illustrations, logos, graphismes. Cédric a réalisé le dessin du T-shirt pour le groupe district Hainaut-Namur.

Il est à la recherche de scénaristes pour une collaboration.

Visite le nouveau site d'un ancien jeune espoir qui troqua sa raquette contre un pinceau...

Contact : grattpapier@gmail.com

Les « Dieux de LeBad ».

L’équipe première de Lebad, 1ère nationale, a réalisé un calendrier badminton.  L'idée est de gagner un peu d'argent pour financier leur équipe et surtout l'entraînement des jeunes du club.

Peut-être pas aussi chaud que le célèbre calendrier de l’équipe de Rugby Français : « Les Dieux du Stade » (http://3couleurs.blogspot.com/2006/09/dieux-du-stade-2007.html )

Les photos reprennent les badders de l’équipe (Kristof, Thomas, Sven, Geoffrey, Maoti, Sabine, Sofie). Elles sont réalisées par Cindy Frey, ancienne joueuse du club (B1). Cindy est photographe et modèle (www.cindyfrey.be).

Si elles sont « sexy », elles restent destinées à un large public de tout âge.

 

Le calendrier se vend pour 15 euro et peut-être commander sur : fotos@wvbf.be