29/05/2009

Opinion

Il n’y a pas de politique sportive en Belgique.

Alors que les élections approchent à grands pas, aucun projet sportif n’a été lancé. « Après les Jeux Olympiques, tout le monde s’accordait à dire qu’il fallait faire quelque chose dans ce domaine. Mais nous n’avons rien vu venir. Je n’ai pas peur de dire qu’il n’y a pas de vraie politique sportive chez nous. Le foot-étude, c’est une très bonne idée. Mais la mise en place est mauvaise. Je ne comprends pas pourquoi un jeune qui se farcit 6 ou 7 heures d’entraînement devrait, en plus, suivre le même parcours scolaire qu’un étudiant ordinaire. Ça n’a pas de sens. Il faut également augmenter le nombre de formateurs dans les clubs. Un seul homme ne peut pas préparer 17 ou 18 joueurs ».

Jean-François DE SART, Football, sélectionneur des Espoirs – La Nouvelle Gazette, 29 mai 2009

VOLANT + RAQUETTE

Dans le sport en général, l’entraîneur principal est une personnalité qui a son franc parlé et son mot à dire. En Belgique avec le badminton, il semble réserver ses analyses à un cercle très restreint. Peur de choquer ? Peur de sanction ?

Sofus RIJSHEEDE n’a pas été convié à l’Assemblée Générale de la LFBB pour faire un bilan de ses 3 années passées chez nous. Pas de message à l’adresse des clubs ou des joueurs. Dommage.

Côté politique, en cette période de campagne électorale régionale, je cherche encore dans les programmes politiques les projets annoncés quelques jours après les Jeux Olympiques.

13:20 Écrit par vincent hecquet | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : organisation |  Facebook |

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